VEILLER À RESPECTER UNE BONNE HYGIÈNE DE VIE
Oublié le temps où la sortie longue du week-end pouvait être précédée d’une soirée arrosée et d’une nuit sans un sommeil de qualité. Après 40 ans, l’organisme tolère moins aisément les excès. Veiller en conséquence à équilibrer l’alimentation et à dormir suffisamment (en découvrant, lorsque cela est possible, les bienfaits de la sieste d’après entraînement).
Le respect scrupuleux des phases de récupération est l’atout principal des vétérans souhaitant progresser (ou conserver un bon niveau). Certains écarts restent certes possibles et même souhaitables. Courir après 40 ans ne doit pas devenir synonyme d’ascèse !
Pas toujours simple d’améliorer les performances ou même la qualité de sensations. Surtout après 40 ans. Peut-être faut-il revenir aux fondamentaux et redécouvrir le plaisir de courir pour progresser à nouveau…